Nous réitérons que nous sommes opposés à toute répression syndicale à l’encontre de l’UNEF, ainsi qu’à l’encontre d’un militant de SUD Poste 92.
Nous dénonçons également la violence commise par certains vigiles de la fac envers une militante de l’UNEF.
Nous rappelons notre volonté d’une sortie par le haut de ce conflit qui n’en finit pas, à l’image de notre communiqué du 17 février « Les sans-facs sont le résultat de la politique néolibérale du ministère : ouvrir des places titulariser et recruter des personnels en urgence ! ».