Malgré un bilan calamiteux pour tous (enseignants,
personnels de la ville, élèves) des nouveaux
rythmes scolaires, le dispositif est généralisé cette année à tout le territoire... même dans les Hauts-de-Seine (qui avaient été préservé l’année 2013-2014).
On constate une grande inégalité de traitement
suivant les communes.
Les enseignants se mobilisent comme à Levallois ou Gennevilliers, les animateurs aussi comme à Colombes ou Clichy.
SUD Éducation continue à s’opposer complètement
à cette réforme nuisible, à exiger son abandon pur
et simple et à revendiquer une organisation du
temps scolaire basée sur la réduction du temps de
travail des personnels comme sur des rythmes
journaliers, hebdomadaires et annuels répondant
enfin à l’intérêt des élèves.